Alors que le marché immobilier des grandes métropoles en France est touché, la question se pose pour Genève et le Pays-de-Gex : nonobstant la frontière géographique, nombreux sont les résidents helvétiques qui aspirent à plus d’espace en termes d’habitabilité et d’environnement en priorité en plus d’être écologique si possible.
Des économistes prédisent un recul de l’ordre de 20% sur les prix de l’immobilier au cours des deux prochaines années dans l’hexagone. Un chiffre à relativiser par rapport à notre région ou les prix ont progressé par le passé mais de façon mesurée. Par ailleurs, le taux de rotation local contrairement à d’autres secteurs géographiques est le gage d’un marché immobilier actif de façon permanente. Ainsi, la crise qui se profile aura un impact sur la zone frontalière mais dans une moindre mesure probablement.
Même si la pierre reste une valeur refuge, la pandémie aura des conséquences durables sur les comportements avec une recherche axée sur une superficie plus importante, la présence de nombreux espaces verts alliée à un environnement moins dense. De réels atouts que possède notre région et qui lui seront bénéfiques : la résilience est donc en marche !
Du point de vue bancaire, une remontée des taux n’est pas à exclure à l’avenir. Force est de constater que la dette des états européens explose et creuse leurs déficits publics. Par conséquent, une hausse des taux obligataires et hypothécaires semble possible avec un impact sur les taux des crédits aux particuliers et sur la stabilité des prix de l’immobilier. Pour plus d’information, consultez la grille des taux mise à jour régulièrement et nos derniers éditos sur les tendances bancaires puis n’hésitez pas à nous contacter via notre formulaire